05/05/2007
Deuil.
Comme un lac sous tes ailes froides
Jamais je n'ouvrirai ma gueule
La dérobade,
Le hasard était un linceul
Et toujours tu portais le deuil
De nos amours,
Mais Dieu comme tu étais triste
Dans la banalité des jours
Un air sinistre.
16:35 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
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