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08/07/2007

Métropolitain.

On sue par-dessus mon épaule
Tout crie, tout tremble, tout frissonne
Quelqu’un me frôle

Les regards sont dolents et mornes
Une seule saison : l’automne
Dans ces wagons

Une enfant lit du Baudelaire
J’aime Rimbaud ; c’est ma station
Denfert.

20:10 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)

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