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28/07/2007

Frisonnes.

O Frisonnes qui frissonnaient
Chaque matin dans l'herbe tendre
Et épicée,

Broutez, broutez, sans plus attendre,
Que votre lait et votre viande
Soient délectables,

Nous irons au banquet ensemble
Sur ma chaise, sur votre table
Déjà j'en tremble.

16:50 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)

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