12/08/2007
Grosse chaleur.
Couchée sur les tommettes rouges
Tes yeux gris fixent le plafond
Rien ne bouge,
Béziers dort ; je cherche à tâtons
Une jambe, un visage, un nom
Une inconnue,
Sur le sol frais où tu reposes
Tes bras, tes jambes à demi-nus
Prennent des poses.
15:15 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
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