14/09/2007
Gare.
Un café rêve sur le zinc
Et sa maîtresse broie du noir
J'en suis dingue,
Elle est belle comme un hasard
Un train, maudit train, rentre en gare
C'est le sien,
Son café noir ne rêve plus
Il est froid ainsi qu'un matin
Superflu.
21:05 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.