25/09/2007
Ophélia.
Matin brumeux, l’air est humide
Si jeune est belle infiniment
Sans une ride
Elle va les mains sagement
Sur son sein, son visage est blanc
Parmi les fleurs
Ses lèvres ne dessinent pas
Un doux sourire, elle se meurt
Elle se noie.
18:40 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
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