10/10/2007
Bohème.
Enrubanné sur le trottoir
Il s’endort dans son manteau noir
Comme un enfant,
Il n’a plus de nom, plus d’espoir
Sous le soleil aléatoire
De ses vingt ans,
Sa bouche veut encore boire
A la jeunesse et à la gloire.
Tout fout le camp !
13:45 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
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