21/10/2007
Les pas.
Lorsque tous les matins se traînent
Tout au fond de ce lit glacé
Comme la Seine
Lorsque les pas sont fatigués
Toujours d’user les mêmes pieds
Les mêmes rues
Dans ce miroir sombre et hautain
Oui, toujours ce même inconnu
Qui crie en vain.
17:42 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
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