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30/10/2007

Les pas. (seconde mouture).

Lorsque tous les matins se traînent
Tout au fond de ce lit glacé
Comme la Seine

Lorsque les pas sont fatigués
Toujours d’user les mêmes pieds
Les mêmes rues

Lorsque le soir a ses humeurs
Quelques chagrins qui se sont tus
J’ai peur.

19:55 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)

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