20/09/2009
Pchitt
J’ai peur, tout se réduit à rien
Tout s’évapore la vie comme
Peau de chaqrin
Au fond de mon lit elles dorment
Ces amours, ces fêtes la somme
De mes regrets
Je ne rêve plus les hiers
Je ne rêve plus les après
Comme la pierre
10:25 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.