23/10/2009
Vos yeux
Mes nuits sont blanches, c’est l’aube
Les rues sont belles et silencieuses
A qui la faute ?
Ni l’or des feuilles baladeuses
La place aux fontaines boudeuses
Ni le vieil or
Plus rien sauf encore vos yeux
Votre amour est le ciel bleu
De ce décor.
00:04 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.