05/01/2012
Proprios
Dans ce jardin silencieux
Ou renaît l'ocre et le bordel
Plus de feu
Les ombres d'une demoiselle
Dans les arbres, plus d'hirondelles
Des corbeaux
Et le givre qui cache l'or
Fleurs éteintes : les proprios
Sont morts.
10:07 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
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