25/05/2007
Autrefois.
La joie simple des vieilles gens
 Derrière la fenêtre en bois
 Quelques enfants,
Dans la rue, chantent à pleine voix
 Une comptine d'autrefois
 Les vieux aussi,
Un beau sourire dans les yeux
 Cette jeunesse qui revit
 Un petit peu.
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21/05/2007
Flamme.
Ombres, dédales
 Parfois tes yeux
 Se voilent,
J'y vois les cieux
 Même tes bleus
 A l'âme,
Dans ton regard
 La douce flamme
 Mon phare.
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Chèvre.
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17/05/2007
Quelques fleurs.
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15/05/2007
En mai.
Tout frissonne, là, dans ma tête
 Tout, même la rumeur des rues
 Me fait la fête,
Tout est mai, les filles inconnues
 Celle-la sur cette avenue
 C’est toi peut-être ?
Tout frissonne dans cette ville
 Ton souffle, tes pas, tout ton être
 Va t’en Avril.
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13/05/2007
Premiers feux.
Il vente, il pleut quelques espoirs
 Que Mai soulage un peu la terre
 En arrosoir,
Tout est sec, tout craque, misère
 L'eau ruisselle dans le tonnerre
 Et le fracas,
La terre ne boit rien ou peu
 Chacun sait que demain viendra
 Les premiers feux.
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11/05/2007
Dans tes pas.
Mes pas dans tes pas, dans tes traces
 J'ai reconnu tous tes chemins
 Tous tes espaces,
 
 Cheminé au petit matin
 Rue Claudot et Henri Déglin
 Rue Michelet,
 
 Et je t'ai vu, mains dans le dos
 Caha-cahin, tu souriais
 Incognito.
 
                                     A mon Grand-Père.
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10/05/2007
Autoportrait.
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09/05/2007
Hommage à ma chemise mao.
Ma chemise de calicot
 Flétrie au nom de la percale
 Adieu Mao,
 
 M'avait fait plus qu'un très long bail
 Du dandy à l'épouvantail
 Et si fidèle,
 
 Tu la condamnas aux chiffons
 Aux bas travaux perpétuels
 Aux tristes haillons.
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07/05/2007
Parfum de 1976.
Cette odeur, parfum de la terre
 A fait se lever quelques spectres
 Du cimetière,
Dans les champs roux, journées champêtres
 Chemins de mousse sous les hêtres
 Et longues siestes,
Les femmes ont des chapeaux de paille
 Elles fument des cigarettes
 Les enfants bâillent.
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05/05/2007
Deuil.
Comme un lac sous tes ailes froides
 Jamais je n'ouvrirai ma gueule
 La dérobade,
Le hasard était un linceul
 Et toujours tu portais le deuil
 De nos amours,
Mais Dieu comme tu étais triste
 Dans la banalité des jours
 Un air sinistre.
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04/05/2007
Lundi matin.
Ainsi nous serons tout le monde
 Tout le monde ? C'est trois fois rien
 Dans cette ronde,
Nous serons voisin du voisin
 Tout commence lundi matin
 Ma douce France,
Puisqu'il faut devenir anglais
 Que les pauvres et leur engeance
 Aillent crever.
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Mains.
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Mai.
Au mois de mai de mes amours
 Au mois de mai qu'il faisait bon
 Et clair le jour,
Quand j'allais par inclinaison
 Cueillir à la tendre saison
 Quelques printemps,
Il m'en souvient, mais l'horizon
 Portait les embruns frissonnants
 D'autres saisons.
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02/05/2007
Place Stanislas. (Nancy)
Avril, tout doucement réchauffe
 Nos amours dessous leur manteau
 Elles s'échauffent,
Les petits matins sont plus chauds
 On chante et on parle plus haut
 L'espoir au corps,
Je foule tes pavés brillants
 Belle place aux fontaines d'or
 Et d'argent.
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01/05/2007
Cendres.
Parfois sous la voûte des humbles
 Dire les choses sans blesser
 N'est pas si simple,
Mon coeur souvent voudrait parler
 Il manque de mots pour aimer
 Ou se défendre,
Tant pis et puisque rien n'apaise
 Nous sommes du pain et des cendres
 Et de la glaise.
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