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14/05/2013

Jeunesse

Tous les matins vers les hivers
Ils ne me sont pas inconnus
Dans les airs
 
Flotte au-dessus des avenues
L’ombre des années perdues
Ô jeunesse
 
C’est un souvenir seulement
Des noms qui reviennent sans cesse
Plus le temps.

12:56 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)

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