04/04/2020
100
Derrière la vitre un masque
Triste comme un clown d’avril
Mais sans Pâques
Fixe un soleil inutile
Quelques oiseaux volubiles
Sous les toits
Chantent un sinistre printemps
Les filles n’ont plus de voix
J’ai cent ans.
15:17 Publié dans Poésie. | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.